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Lighter life (sleeve, bypass, chirurgie et obésité)

Sur ce blog de soutien et d'information face à l'obésité et ses complications, je vous raconte ma perte de poids grâce à la chirurgie bariatrique/gastroplastie, mon parcours, et les suites de l'opération. Vous trouverez ici un espace bienveillant et honnête, qui se veut porteur d'espoir (Lighter life : une vie plus légère) pour toutes les personnes qui souffrent à cause de leur poids, sans chercher à vendre du rêve ni cacher les difficultés : perdre du poids demande énormément de courage et implique des décisions difficiles, et si la chirurgie n'est pas une solution miracle, elle pourrait cependant être votre chance de vous libérer de ce corps qui vous gâche la vie.

Parcours pré-sleeve (partie 13) : examens pré-opératoires, TOGD, fibroscopie...etc.

Lundi 17/03 : RDV au cabinet du gastro-entérologue. Il a été vraiment adorable (et mignon avec ça :D ), très patient et rassurant. Il m’a d’abord expliqué en quoi consisterait la fibroscopie, qu’on a programmée à la semaine d’après...etc. et on est partis faire l’échographie. Et là au bout de 5min d’examen, il me dit que sa machine n’est pas assez puissante, et qu’il n’arrive presque rien à voir de mes organes (foie estomac vésicule) ! Il m’a dit que ça n’était pas du tout en rapport avec le poids et l’épaisseur à traverser, mais que ça dépendait des personnes et que les ultrasons avaient beaucoup de mal à traverser certaines personnes. Il m’a aussi dit que j’avais une toute petite vésicule et qu’elle se cachait :o

Donc me vla bonne à devoir refaire une échographie, cette fois au service radio de la clinique.

Jeudi 20/03 :

8h à la clinique : TOGD (Le Transit Oeso-gastro-duodénal est un examen radiologique qui permet de réaliser une étude de l'œsophage, de l'estomac et de la partie initiale de l'intestin grêle (le duodénum). Il est réalisé par un radiologue, en cabinet de ville ou en milieu hospitalier. Cet examen est complémentaire de la fibroscopie œsogastrique. Il met en évidence d'éventuelles lésions inflammatoires, un reflux œsogastrique, des diverticules, des tumeurs... On y a parfois recours aussi, pour contrôler les résultats d'une intervention chirurgicale. Source.)

Le TOGD ça a été à peu près. C’est assez marrant de voir sur l’écran le liquide de contraste descendre dans l’œsophage et se poser dans l’estomac ^^ ça se passe comme pour n’importe quelle radio, plein de clichés, debout contre la machine, le ventre plaqué dessus, allongée sur le ventre, puis sur le dos, avec la tête un peu plus en bas (la table inclinée vers le bas du côté de la tête). Sauf qu'au moment des clichés on doit avaler un liquide de contraste qui permet de montrer les organes à la radio.
Le liquide de contraste mouarf... c’est pas SI horrible, comme le disent certaines personnes, mais c’est quand même pas terrible. Le goût ça va encore, ça ressemble (enfin ici en tout cas) un peu vaguement à du Yop vanille, avec un petit arrière goût piquant... mais la texture est vraiment gênante, un peu style Smecta en plus pâteux... les deux premiers gobelets on supporte, le troisième j’ai eu du mal. Surtout pour l’exercice «prenez une gorgée, gardez dans la bouche, et avalez d’un coup quand je vous le dirai»... 

J'ai eu les résultats, rien d'alarmant. Une petite petite hernie décelée mais rien de grave ni d'inquiétant. A priori pas de reflux, à confirmer par la fibroscopie !

17h30 à 18h : RDV Dr Boute. La séance a été très expéditive (pas beaucoup de temps) et du coup j’ai pas vraiment pu parler du parcours, on est tout de suite passé à la séance d’hypnose. J’ai trouvé ça bien moins intéressant et utile que la première fois. La séance était censée porter sur les angoisses, mais en ayant à peine pris le temps d’entrer en état d’hypnose, le médecin m’a simplement dit d’essayer de chercher la «petite fille» en moi et d’essayer de la consoler parce que c’est probablement elle qui a peur. Depuis, j’ai essayé d’y réfléchir et de tourner ça un peu dans tous les sens, j’ai pas l’impression que ça puisse s’appliquer à moi dans mon quotidien. Évidement que ça serait positif que je sache me rassurer moi-même quand je suis anxieuse, mais j’ai la sensation que pour ça, il faut que j’arrive à comprendre mes angoisses pour pouvoir les apaiser. En ce sens, j’ai l’impression que le travail avec la psychologue, bien plus concret, m’aide d’avantage que la recherche dans l’inconscient avec l’hypnothérapeute. 

Entre ces deux séances, la psy m’a interpellée rapidement pour me demander si, selon elle, ça valait le coup de continuer le suivi psy aussi régulièrement (j’avais un RDV le lendemain) et si, selon moi, il valait pas mieux espacer un peu pour me laisser le temps de digérer chaque rendez-vous et d’avoir quelque chose  dire. Ça m’a un peu affectée et je me suis demandée vraiment si elle allait pouvoir m’aider par rapport à mon mal-être actuel, car son travail semble vraiment centré sur la préparation à la chirurgie et sur les changements provoqués par les séances de groupe.

18h à 20h : Groupe diét. La séance de groupe diététique s’est très rapidement transformée en séance chirurgie. A force d’être interrompue par les questions de tout le monde en cours de séance, la diététicienne a fini par instaurer un tour de table où chacun a pu poser ses questions et la diet a inscrit toutes les questions sur un tableau et y a répondu au fur et à mesure ^^ pour ma part, je savais déjà beaucoup de choses, mais comme je le dis un peu plus haut c’est toujours intéressant de voir les questions que les autres se posent et comment ils vivent ce parcours. Le côté diététique de la séance était intéressant aussi, elle nous a parlé des nutriments dont le corps a besoin, de quels aliments en étaient riches, et au sujet de quels aliments au contraire les croyances habituelles étaient fausses. 

Vendredi 21/03 : Du coup, j’ai appelé dans la journée pour annuler le RDV psy le temps de réfléchir à tout ça.

Toute cette semaine, j’ai tenté le Zopiclone (somnifère), d’abord un cachet entier, puis un demi au coucher. Le résultat est plus que décevant, j’arrive le plus souvent à m’endormir au bout d’une heure, mais me réveille très rapidement après (entre une heure et trois heures plus tard). Et mon rythme ne se recale pas, je suis pas en forme la journée et m’écroule à midi ou 14h jusqu’en fin d’après-midi sans pouvoir lutter. Je continue encore jusqu’en milieu de semaine prochaine puis arrête totalement car encore une fois j’ai l’impression que ça fait plus de mal que de bien.

Lundi 24/03 : fibroscopie. L’examen a été assez pénible, je ne suis pas sûre que vous vouliez lire ça si jamais vous êtes en cours de parcours et devez passer une fibroscopie sous anesthésie locale.
Déjà, j’ai dû arriver à l’hôpital à 13h30 à jeun. J’ai patienté presque une heure sur une chaise dans une «salle d’attente» aménagée dans le couloir, puis une aide soignante est venue me chercher et m’a amenée dans la salle d’examen. 
Depuis le début du parcours, la psy, le nutritionniste et la diététicienne (et le médecin gastro-entérologue qui devait la pratiquer) sont super rassurants à ce sujet, ils m’expliquent que maintenant c’est juste une formalité, un tout petit fil qu’on passe par le nez et qui donc est moins désagréable que par la bouche (pas d'envie de vomir au passage du tube), et que du coup ça vaut pas le coup de le faire sous anesthésie générale. Donc moi confiante et sereine, j’y vais sans trop d’appréhensions. L’anesthésie se fait par un pshit dans le nez, qui anesthésie déjà le nez et la gorge, puis un lubrifiant anesthésiant sur le tube (tube un peu plus gros qu’un fil de chargeur de téléphone je dirais, avec une petite lumière et une mini caméra au bout). Il a essayé de passer par le nez, une narine, puis l’autre, mais il a dû arrêter parce qu’il me faisait trop mal (cloisons nasales trop serrées ...), donc il me dit «pas grave on va passer par la bouche !» ... QUOI ?! J’étais pas du tout préparée à ça. Ni une ni deux hop, un cercle à mordre pour garder la bouche ouverte, et tentative pour passer le tube dans la gorge. Haut-le-cœur à chaque fois que le tube touche la paroi de la gorge, vraiment vraiment très désagréable, et heureusement que j’étais à jeun... pour au final qu’il m’annonce que ça ne passait pas non plus et qu’il préférait arrêter de peur de me blesser, et qu’on va reprogrammer ça sous anesthésie générale... c’était bien la peine...

M’enfin, c’est passé maintenant, et le non-examen n’a duré que quelques minutes, ça n’a finalement été qu’un «mauvais moment» à passer, mais quand même. Entre ça et l’échographe, je me suis vraiment sentie... impénétrable :D

J’ai gagné un RDV anesthésiste et une fibroscopie à programmer sous anesthésie générale (une demi-journée à la clinique...). Ma toute première anesthésie générale, et je dois admettre que ça ne m’enchante pas spécialement :/ c’est une toute petite anesthésie de 10-15min mais bon, ça reste une anesthésie générale. Pour le coup, je suis un peu plus inquiète qu’avant la tentative sous anesthésie locale, mais d’un autre côté... je pense que s’il m’avait dit «on retentera un autre jour, c’est pas grave» après l’avoir vécu une fois, j’aurais réclamé l'anesthésie générale...

Mardi 25/03 : Groupe psycho. Cette séance de groupe a été vraiment vraiment été intéressante, on a parlé de l'estime de soi, de la façon dont on interprète les situations, et de comment sortir de ce marécage de dénigrement de soi et de déprime. On a également abordé les schémas comportementaux, schéma de rejet, d'abandon...etc.

Autant j’étais pas du tout sûre de ce que je devais penser de mes précédents RDV avec cette psy, parce qu’elle ne s’avançait pas trop, et que du coup je me demandais si elle pourrait m’aider, autant cette fois elle a totalement fait pencher la balance de son côté. Juste après la séance, elle a vu que ça m’avait quand même beaucoup touché et qu'on avait mis le doigt sur un sujet sensible, et que du coup j’étais un peu perturbée, et elle m’a prise à part pour discuter, au moins une demi heure (alors qu’il était déjà 19h30 quand on a fini la réunion), elle m’a fait parler un peu pour essayer d’évaluer comment je me sentais, à la fois par rapport à la séance et à la dernière fois qu’on s’était vues (où elle m’avait demandé si j’étais sûre de vouloir la voir «si souvent» et si je pensais que ça n’allait pas faire «trop» une fois tous les 15 jours), elle a approfondi un peu les mécanismes de ce «schéma d’abandon» et m’a confirmé que j’étais en plein dedans, elle m’a dit que c’était quelque chose qui se travaillait et qu’il était impératif de régler pour aller mieux, mais que ça se faisait généralement rapidement et qu’il ne fallait pas des années de thérapie pour en sortir ! Ça m’a vraiment donné de l’espoir, à la fois pour moi, pour aller mieux, quand je me suis dit que j’allais ENFIN pouvoir sortir de cette souffrance constante alors qu’à une période j’avais pensé que ça n’était pas possible et que j’en sortirais jamais, mais également pour mes relations, celles que j’entretiens en ce moment et qui sont très compliquées, celles qui me font souffrir au delà de l’imaginable, et celles que j’ai déjà presque gâchées à cause de ce comportement inconscient qui nous a empêchés de construire.

Elle m’a aussi dit que pour elle, même si je le voyais pas en ce moment à cause de toutes ces choses périphériques qui m’empêchent d’aller bien (insomnies surtout), elle trouvait que j’avançais déjà beaucoup, dans mes réponses aux exercices qu’elle donne d’une séance à l’autre, et dans mon rapport à la nourriture, mon interprétation des situations, et ma motivation. C’est encourageant, et même si c’est vrai que je le vois pas trop, ses arguments sont bons et elle m’assure que le travail se fait...

Encore une fois, elle m’a donné l’impression de savoir de quoi elle parlait vraiment, d’être capable de comprendre mon problème et de l’inscrire dans quelque chose de «connu» et de «guérissable», j’ai eu l’impression qu’elle y avait réellement réfléchi même en dehors des moments où on se voit, qu’elle avait vraiment lu les résultats de mes exercices, qu’elle avait cherché vraiment pour pouvoir m’apporter des solutions la fois suivante. C’est quelque chose de.... troublant, particulier, de sentir quelqu’un lire en moi comme ça, poser des mots sur mon mal-être et le comprendre, et tâcher de m’aider, en tant que personne et pas seulement en tant que cas d’étude qui rapporte de l’argent, comme j’ai pu le ressentir avec certains médecins.

Je ressens aussi une petite pointe d’orgueil du même genre que ce que je ressentais avec mes professeurs de lycée face à l’élève sérieuse que j’étais. Je vois bien en réunion, la moitié des personnes sont «saoulées» par les exercices que la psy nous donne, ils font ça à la va-vite et les prennent à la rigolade. Ils voudraient tous être opérés tout de suite sans avoir ce suivi pré-opératoire (qui personnellement m’aide beaucoup à appréhender l’opération et l’après). Pendant les réunions ils papotent et rigolent comme des ados dissipés, ça m’énerve. J’aime la discipline dans une «classe», et j’aime qu’on manifeste le respect qui est dû à la personne qui nous fait cours. J’aime vraiment ces réunions, et bizarrement, ça m’aide aussi à m’exprimer. Je me sens aussi bien (voire mieux) renseignée que les autres, du coup je participe beaucoup, je donne mon avis, et j’arrive à parler de moi, à parler de mes expériences, devant tout le monde. C’est vraiment très étonnant de ma part, pendant ces réunions je me sens vraiment... confiante.

C’est marrant. Il m’est souvent arrivé de penser que si j’avais réussi à poursuivre mes démarches il y a 3 ans, j’aurais déjà été opérée depuis longtemps et je serais mieux maintenant, mais... d’un autre côté, je n’aurais jamais connu ces personnes qui m’aident à réparer des choses qui déjà à cette époque étaient fissurées en moi. Je n’aurais peut-être pas su cibler seule ces failles psychologiques qu’il me faut combler pour être en paix et sereine (il arrive tellement souvent de lire sur le forum dans les parcours des gens qui ont vu le psy une fois pour un RDV de 5min et ont décidé de ne plus le revoir après...). J’ai l’impression quand je parle avec la psychologue ou avec la diététicienne, que tout est en place là où ça devrait être au moment où ça devrait l’être. J’ai plus cette impression constante qu’il est «trop tard».

Mercredi 26/03 : La deuxième échographie abdominale s'est bien passée, ça a pris 5min. D'après le rapport, j'ai un foie très gras et très gros (sans surprise, me direz-vous...), donc je ne couperai sans doute pas au régime pré-opératoire. Par contre apparemment, pas de calculs du tout à la vésicule. :)

Jeudi 27/03 : Soirée du sommeil. J'ai assisté ce soir à une longue conférence à l'hôpital sur le sommeil, les troubles du sommeil et les maladies du sommeil. C'était très intéressant et très instructif.

Lundi 31/03 : Le RDV anesthésiste a été assez rapide, le médecin a fait un tour rapide de mon état de santé et des médicaments que je prends en ce moment, observé l'ouverture de ma bouche et pris mon pouls/ma tension.

Mardi 01/04 : Le bilan cardio idem ça a été rapide, j'ai discuté un peu de mes antécédents avec la cardiologue qui m'a fait un électrocardiogramme (tout est normal !) et a programmé un test d'effort et une échographie d'effort compte tenu des risques cardiovasculaires de l'obésité.

Mercredi 02/04 : RDV pneumologue.
Je me suis encore une fois heurtée à un médecin pas très compréhensif, même si en l’occurrence il y avait des raisons... (mauvais suivi du traitement et probablement la sécu qui pousse derrière...). Ça m’inquiète quand même, rapport à l’opération... 

Depuis novembre je suis appareillée pour des apnées du sommeil (34/heure), sauf qu'avec mes insomnies chroniques, je n'arrive pas à porter correctement/suffisamment la machine. J'ai essayé avec mon médecin traitant plusieurs traitements pour dormir (anxiolytique léger et somnifère, même si à la base je n'étais pas trop pour ce genre de médicaments, j'ai voulu essayer en dernier recours), mais ça n'a donné que des résultats très moyens. Je suis également suivie par la psychologue du centre CeliObe pour essayer de travailler sur mes angoisses.

Résultat du RDV chez le pneumo, il m'a dit quelque chose comme :
"Bah... y'a pas grand chose sur la carte là hein. Vous arrivez pas à vous adapter au traitement ? Bon bah tant pis, on va le retirer. Je vais appeler la société qui viendra récupérer la machine."
"Mais... je vais en avoir besoin pour..."
"NON."

Bon... bah au moins ça, c'était clair.

J'ai assisté dans la semaine à une conférence très intéressante sur le sommeil donné par un de ses collègues du même service qui affirmait suivre des personnes pour toutes sortes de troubles du sommeil, donc j'en ai parlé à mon pneumologue pour savoir si on pouvait essayer de travailler surtout sur les insomnies et l'hypersomnie (le fait d'avoir besoin de dormir énormément pour être en forme un minimum), mais il m'a dit qu'il préférait me donner le numéro d'un psychiatre spécialisé et que je verrai avec lui...

J'ai la sensation de ne pas avoir eu assez de temps pour m'adapter à la machine, d'avoir tout gâché avec mes insomnies sans avoir eu le temps et l'opportunité de "rattraper le coup". Est-ce que vous pensez que le fait de me faire retirer l'appareil peut annuler l'opération jusqu'à ce que je réussisse à le porter et le supporter toutes les nuits ?

Jeudi 03/04 : RDV à la clinique dans l’après-midi pour l’échographie d’effort, une vraie torture quand on n’est pas sportif du tout ! Arrivée dans la salle de torture, sans plus de cérémonie hop «mettez-vous torse-nu et installez-vous là» o.o sur une espèce de table munie d’une selle et de pédales pour pouvoir pédaler en étant allongé. Hop on me branche plein de fils, un brassard pour la tension et let’s go on pédale, on pédale, avec l’aide-soignante qui lance des encouragements à chaque fois que la charge sur les pédales augmente ! C’est marrant, de voir son rythme cardiaque augmenter sur l’écran de l’électrocardiogramme, mais l’exercice est difficile et j’ai pas réussi à finir (stoppé à 80% parce que trop mal aux jambes). Cette brute de cardiologue m’a fait un gros bleu sur le sein gauche à force d’appuyer avec son bidule d’échographie. Je sais que je suis pas très lisible, m’enfin quand même ! Et ça fait très bizarre d'entendre les pulsations de son coeur et le son mouillé du sang "pompé" dans le coeur, via la machine d'échographies... ^^
Enfin bon, mon cœur est tout à fait normal, mon rythme cardiaque au repos et à l’effort aussi, tout est OK de ce côté là. =)

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